Le rôle du market making face à la modernisation des marchés électroniques avec Charles-Albert LEHALLE
Le mercredi 19 novembre 2014
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Le market making est au cœur des reflexions sur la ségragation
des activités en Europe et aux US (Volcker vs Liikanen),
Dans ce context, Charles-Albert LEHALLE fait le point sur le
rôle du market making face à la modernisation des marchés
électroniques et montre en quoi le rôle des teneurs de marché a
considérablement évolué.
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Présentation
Avec les évolutions réglementaires des deux cotés de l’océan
atlantique (Reg NMS aux USA, MiFID 1 et 2 en Europe) et l’attrition
de la liquidité, les plateformes de négociation (des marchés
historiques aux Dark Pools en passant par les MFT) sont des lieux
d’échanges multilatéraux plus anonymes que jamais.
Charles-Albert LEHALLE montrera en quoi
l’activité de tenue de marché traditionnelle, basée sur des
négociations bilatérales, est mise à mal par la microstructure
moderne. Il illustrera, à l’aide de résultats universitaires
récents théoriques et sur des données réelles, comment les
divers participants se sont adaptés à cette nouvelle
situation.
Charles-Albert LEHALLE est Senior Research
Manager à Capital Fund Management (CFM). Il est un expert de la
microstructure de marché et du trading optimal. Ayant été
responsable monde de la recherche quantitative à Crédit Agricole
Cheuvreux et responsable de la recherche sur la microstructure au
département "Equity, Brokerage and Derivatives" de la banque
d'investissement de Crédit Agricole, il a étudié avec attention les
modifications de la microstructure des marchés suite à la crise
financière et depuis les évolutions réglementaires européennes et
américaines de 2007 et 2004.
Il a à cette occasion fourni des analyses aux investisseurs et aux intermédaires, et est souvent auditionné par les régulateurs et les politiques (comme la Commission Européenne, ou le Sénat français). Il siège au groupe de réflexion sur l'Innovation Financière de l'ESMA. Depuis peu, Charles-Albert est "visiting research" au département de mathématiques financières de Imperial College, à Londres.
Contribution : 70 € HT
Il a à cette occasion fourni des analyses aux investisseurs et aux intermédaires, et est souvent auditionné par les régulateurs et les politiques (comme la Commission Européenne, ou le Sénat français). Il siège au groupe de réflexion sur l'Innovation Financière de l'ESMA. Depuis peu, Charles-Albert est "visiting research" au département de mathématiques financières de Imperial College, à Londres.
Contribution : 70 € HT