Les sociétés de gestion face au défi des rémunérations avec OPCVM V
mercredi 05 octobre 2016Si la Directive OPCVM V s’aligne
sur les dispositions de la Directive AIFM en matière de politique
de rémunération, elle vient cependant ajouter des exigences
supplémentaires sur le plan organisationnel et sur le plan de la
transparence vis-à-vis des autorités compétentes et du grand
public.
Le principe de proportionnalité actuellement très débattu demeure à
ce stade inscrit dans la Directive OPCVM V comme principe directeur
applicable en matière de politiques de rémunération.
Enfin, pour l’EBA, les sociétés de gestion de portefeuille,
filiales d’une banque, devraient appliquer les dispositions en
matière de rémunérations de CRD IV, même si ces sociétés sont déjà
soumises à des règles identiques en vertu d’OPCVM 5. Cette
interprétation de la proportionnalité est contestée.
L’objectif de cet atelier est de décliner les alignements avec la directive AIFM, les différences notables avec AIFM et enfin de passer en revue les impacts à la fois organisationnels et comportementaux de cette directive et de sa transposition sur l’activité des sociétés de gestion de portefeuille.
Panorama des alignements et différences entre OPCVM 5 et AIFM
Revue des
impacts métiers dans les sociétés de gestion
Animé par David Masson, avocat
associé, Mazars Société d’Avocats
Retour d’expérience d’une société
de gestion de portefeuille
Animé par Pé Touré, RCCI, Comgest
SA