L'impasse du pluralisme
Dans cette note, le théologien de la Maison Pontificale, insiste sur le fait que l'on ne peut s'en remettre au consensus pour fonder la vérité en matière de bien et de mal. Le compromis ne peut pas régler la notion du bien et du mal en dernière instance. Or, une des raisons du « vide éthique » en finance aujourd'hui est que, dans les cas rencontrés professionnellement et à l'intérieur des réglementations, chacun peut agir selon sa morale mais que les principes universels de référence manquent. Par ailleurs, il rappelle que la finance est une activité technique, la raison y est une raison instrumentale qui doit essentiellement se préoccuper des moyens et non des fins.