Cet article souligne la puissance financière limitée des fonds souverains et leur potentiel de développement, ainsi que leurs objectifs et leurs principes de gouvernance. Il se fait l'écho de l'effort pour élaborer une charte commune des investisseurs et des pays hôtes, esquissée dans les Principes de Santiago. Puis, il s'intéresse à leurs allocations stratégiques et en souligne la diversité. Enfin, il évoque à quel point les déboires des fonds dans la crise devraient inciter les fonds à améliorer leurs stratégies.