La réglementation internationale du risque d'intérêt
L'article discute l'opportunité d'étendre les dispositifs réglementaires adoptés pour le risque de crédit ou de contrepartie au risque d'intérêt, comme le préconise le Comité de Bâle. Il ne plaide guère en ce sens en estimant qu'il existe de très nombreuses sources d'erreur dans l'évaluation de ce risque et qu'une harmonisation internationale n'est pas nécessaire dans la mesure où la décentralisation et la délégation du contrôle prudentiel aux autorités nationales restent appropriées.