Dans cet article, on s'interroge sur le comportement des fonds souverains ainsi que la mesure dans laquelle leurs objectifs différeraient de ceux d'agents purement privés. On se place résolument dans une perspective positive : plutôt que de prescrire une stratégie « optimale » pour ces fonds, on se demande plutôt quelle sera la stratégie qu'ils adopteront. Cela dépend des hypothèses que l'on fait sur leur nature.